Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Loisirs - Page 16

  • QUELQUES ECHOS DE NOTRE ASSEMBLEE GENERALE

    AG ECLAT 2012 001 [1600x1200].JPGl'AG a eu lieu comme toujours le 2 février, pour pouvoir déguster les crêpes de la Chandeleur.Près de 110 personnes présentes dans la grande salle de Capranie, aucune autre grande salle n'étant disponible dans la commune.Parmi les invités: Mmes Espeso et Dibon, adjointes au maire, Chistine  Gouardères et Claude Mussat co-présidents du FEP, Virginie Bertoli-Damestoy, présidente d'Anim'Ondres. Dominique, le président des Rebel dancers s'était excusé.

    Après le traditionnel mot de bienvenue en gascon par Miquèu et le bilan moral de président (à découvrir ci dessous), les responsables des 7 ateliers :LA BANDA LOUS CHAOUCHE PADERE (Nelly Chasseur) LA CHORALE LOUS ESCLATATS (Joël Streichenberger) LES DANçAÏRES (  Maryvonne Rump)LES GASCONS (Miquèu Baris) LES CHAOUCHE MELODY (Claude Panizzoli) LES QUILLAÏRES (René Labéyrie)  LES CANTAÏRES ( Florence Martin) ont présenté chacun leur rapport d'activités .

    IMG_9823.JPG

    Le rapport d'activités par le président et le rapport financier par la future ex trésorière Micou ont été adoptés à l'unanimité. Le remplacement au CA de 5 sortants ( Micou Daramy, Nicole Majesté, Maryse Dartiguelongue, Florence Martin et Georges Bénintendi ) et le nombre de candidatures a donné lieu à une modification des statuts adoptée à l'unanimité: le nombre d'administrateurs  a été porté de 18 à 21 membres. Les nouveaux élus: Bertrand Léiris, Mélanie Lalanne, Christian Mangeret, M.France Castillon, François Vignaux auxquels s'ajoutent les 3 supplémentaires: Yolande Sarraute, Luc Vandaele et Mathilde Chasseur.

    AG ECLAT 2012 005 [1600x1200].JPGAprès les félicitations de mme Espeso pour leur dynamisme, les Eclatés ont dégusté les succulentes crêpes qui ont clôturé cette seizième AG de leur association.  

     INTRODUCTION PAR MIQUEU BARIS

     

         Com e n’es la tradicion adara desempuish la creacion de l’associacion, e com lo president m’ac a demandat, que vau har lo men petit prosei. N’i a qui van díser : « Dià ! Que va i aver castanha ! Lo vici-president que va reglar los sons comptes… e lo correspondent locau de Sud-Oèst que responarà dens lo jornau, com de costuma, puish qu’es eth qui a, fin finau, tostemps lo darrèr mòt !... » Que non pas ! Lo temps de las nhica-nhacas qu’es passat. Que vau tiéner lo men ròtle, tot simplament, e hà’vs… un cors de gascon, tà que poishquitz emplegar aquera lenga com cau, shens har pecas, medish se ne participatz pas aus cors !

         Que’vs vau donc parlar deu mòt « nhac ». Aqueths putas de jornalistas, qui ac saben tostemps tot, qu’emplegan au jorn de uei, vèi te’n saber perqué, lo mòt « nhaca »… qui vien deu vèrbe gascon « nhacar », çò qui vòu díser hà’s petar los caishaus, au pròpi com au figurat ! Qu’estoi lo testimòni, deu temps quan jogavi au rugbi a Gavarret, d’un episòdi famós, qui n’ac pas james coneishut a Ondres, quan un talonaire locau e’s nhaquè l’aurelha deu son esdret… e que se la chapè (pr’amor ne la tornèn pas james trobar…). Aqueth aquí, be n’avè « nhac » ! Desempuish, los jornalistas parisencs, e los auts bilhèu tanben, tà har color locau (deu mijorn), e amuishar qu’an quauquas rèstas de la vielha cultura gascona, qu’an hicat aquera expression au gost deu jorn… en desbrombar qu’aqueth mòt èra masculin en gascon. E qu’an espandit l’expression sus las ondas e suus jornaus « au feminin ». Error grossièra qu’aimarí plan qu’estossi corregida ! Lo Pèir Albaladejo o lo Rogèr Codèrc, en bons occitans, ne s’i serén pas deishats gahar ! Que cau « que las moscas e cambiin d’aso », com auré dit lo purmèr. D’ara enlà, donc, prometetz-me d’emplegar sonque « lo nhac », e d’acaçar deu vòste vocabulari la franchimandejada « la nhaca ». O lavetz, ne mancarèi pas de’m har petar los caishaus sus las aurelhas deus qui parlaràn atau… E que vederàn qu’un bon « nhac » ne pòt pas sonque estar un mòt masculin. Medish deu costat d’Èrm, on jogar au rugbi e’s conjuga au feminin, la hemnas e las hemnòtas deu parçan que’vs diràn : « Nosautas, qu’am lo nhac autant com los òmis ! »            Miquèu Baris

    BILAN MORAL  Inspiré des Pauvres Gens ( La Légende des Siècles, V.Hugo)

    L’Homme est amer. Depuis l’enfance musico

    Il livre aux fausses notes une rude bataille.

    Pluie ou bourrasque, il faut qu’il sorte, il faut qu’il aille

    Car les répés   l’attendent…Et il s’en va le soir

    Alors qu’il  fait si bon près de la cheminée

    Il s’en va retrouver ceux dont il fit la gloire

    Ses Chaouches dont souvent il fit la destinée…

    Lui ... Seul,  désolé d’apporter à ce groupe l’ennui

    Alors que si souvent, jadis, il apportait l’envie

    Il s’en va dans l’abîme, il s’en va dans la nuit,

    Chercher dans la musique un semblant de survie 

    Sa femme est au logis, cousant les vieilles toiles 

    Des blue jeans délavés, des chamarras fanées,

    Repassant les chemises, guettant sous les étoiles  

    Son retour au logis, après maintes tournées…

    Elle prend sa lanterne et sa cape…C’est l’heure

    D’aller voir s’il revient, si l’ambiance est meilleure

    La porte tout à coup s’ouvre, bruyante et claire

    Et fait dans la maison entrer un rayon blanc.

    Et le vieillard, traînant son imper ruisselant

    Joyeux, paraît au seuil et dit « C’est la marine ! »

    « C’est toi ! » s’écria-t-elle et contre sa poitrine

    Elle prend son mari  comme on prend un amant

    Oubliant tout d’un coup ses angoisses passées,

    Ce cri «  c’est la marine » qui rappelle pourtant

    Ces retours matinaux, lorsque, peu reluisant

    Il venait tout contrit, après bien des nuits folles

    S’allonger en ronflant, flageolant des guibolles…

    Prenant le lit en marche, comme on prend un bateau

    Accrochant sa bouée, ou plutôt son saxo…

    « C’est moi » bégayait-il cherchant un second souffle

    Mais c’était sa dernière, son ultime répé

    Car à s’époumoner et faire de l’esbroufe

    On y laisse du jus, on cultive le  stress…

    Rechercher des contrats, essuyer des reproches

    Rameuter les absents, et ceux qui font exprès

    De ne pas s’accorder, de sauter une croche

    Pour  rouscailler après «  c’est le bordel ici »

    Pendant plus de dix ans, contre vents et marées

    Il a mené sa barque en dépit des récifs

    Et, fatigué  de jouer, lassé de bourlinguer

    Il promit à sa femme d’envoyer valdinguer

    Tout ce qui jusqu’alors le rendait si jouissif

    C’était la dernière séance, la dernière bordée…

    Si  pourtant il sentait une odeur de pardon

    De cette Pénélope au foyer attachée,

    Il voyait malgré tout, au fond de son godet

    Le souvenir intact d’omelette aux lardons

    De canettes de bière, de tournées du patron…

    Alors, finies ces belles  nuits ? Finies les grandes fêtes ?

    On ne peut oublier une vie de pochtron

    Et si soixante dix ans, çà compte dans la tête

    Si le poids des années plombe la clarinette,

    Si le gel  de la nuit refroidit les ardeurs

    Pourquoi ne pas jouir de bien d’autres splendeurs,

    Les Cantaïres  on le sait, répètent en journée

    Ils ont besoin d’un chef, du moins  pour le moment

    Pour les dévergonder  en des villes lointaines

    Dans la Rioja, en Navarre ou à Ousse Suzan,

    Et chanter à plus soif, oubliant le présent…

    Les Quillaïres aussi, surtout  quand il y a René

    Profitent du soleil et jouent excellemment…

    Car chez eux on ne boit pas : pas de vie dissolue

    Sinon comment viser, et surtout dégommer

    Toutes ces belles quilles si on a la berlue ?

    Et tous ces Eclatés qui pètent de santé

    Qui savent quand il faut déguster le boudin

    Préfèrent le Gaillac quand il a décanté

    Même le  Beaujolais, ce vin de citadin…

    Doit-il de tout cela effacer la mémoire ?

    Doit-il en sa chaumière, en homme solitaire,

    Rester auprès du feu, écrire des grimoires,

    Ou bien recommencer, comme un célibataire,

    Une vie de festayre, et repartir chanter…

    Et quand il s’est levé, au petit jour, enfin,    

    Il avait oublié les tracas de la nuit,

    Son épouse éplorée, ses serments oubliés

    Ses soixante dix balais, son cerveau embrumé,

    Pour crier haut et fort : « Avec les Eclatés,

    Je ne sais pas comment je pourrais dire FIN »

    M.D

     AG 2012.png

     

              le bureau attentif (pas tous!) aux propos de Florence, rapporteur des Cantaïres

     

     

    AG ECLAT 2012 008 [1600x1200].JPG

      

                                        On n'attire pas les mouches avec du vinaigre

          

     

     

     

     

     

     

     

     

     

      

     

          

     

     

     

     

     

     

     

     

  • PORCAILHES EDITION 2012

    13 JANVIER 2012 001 [1600x1200].JPG

      Nos précieux atouts: Dédé Laclau, Philippe et Françoise Lormand

    Qu'il est loin le temps des premières cochonnailles d'ECLAT, dans l'arrière boutique de Henri Dauga qui avait eu la lumineuse idée de lancer ce qui a été, dès ce froid samedi de janvier 1998,  notre première grande manifestation, avec près de 75 convives à table! Nous étions près du double cette année...Merci à tous pour votre implication, aux premiers d'entre eux, bien sûr Françoise et Philippe Lormand, à tous ceux qui, dès jeudi après midi ont monté le chapiteau ( ph. 1 à 8) , aux vaillants du vendredi matin, qui, dès 6H, ont découpé la viande et mis les morceaux à chauffer (photos 9, 10, 11) Puis, vers 9H, çà a été l'arrivée des cuisinières  et cuisiniers pour préparer les boudins ( photos de 12 à 60) . Samedi place à la préparation de la garbure avec le renfort inattendu de deux Pélerins de Compostelle qui ont été nos invités après les efforts de  Ghyslaine pour les caser dans un camping (finalement c'est Dédé Lormant, lui même Compagnon,  qui les a hébergés chez lui!) (Photos 61 à 66). La salle était prête pour 16 H, décorée de bien belles couleurs ( un peu fânées à Bayonne en ce moment!) (Photos 67 et 68), le vin embouteillé ( 69- 70) Place à la polka des mandibules, à la pesée du jambon, aux chants et aux danses, (photos 71 à 90) , avec une photo souvenir de nos deux pélerins et de nos "marcheurs" à nous: Michel Testemale, Claude Panizzoli et Dédé Lormant , en compagnie de notre trésorière Micou qui avait pris l'excellente initiative d'inviter ces deux jeunes ( Une Allemande et un Italien) (photos 91, 92, 93) . Dimanche matin dès 9 heures une douzaine de vaillants ont procédé au nettoyage des salles, démontage des barnums (photos 93 à 100) ...Et comme il fallait bien finir les restes, dès 11 heures, une bonne table  a été la récompense des travailleurs: garbure, boudin, purée, millassou, tout pour rendre les hommes heureux, surtout quand ils étaient servis par Jeanine! (ph 101 à 105)

    14 JANVIER 2012 (16).JPG

    LA PROCHAINE MANIFESTATION D'ECLAT SERA L'ASSEMBLEE GENERALE DU JEUDI 2 FEVRIER 2012 A PARTIR DE 20 HEURES, DANS LA GRANDE SALLE DE CAPRANIE .TOUT LE MONDE EST INVITE. NE POURRONT VOTER QUE LES ADHERENTS D'ECLAT, MAIS TOUT LE MONDE POURRA DEGUSTER LES CRÊPES ( que vous porterez) ET LE CIDRE (offert par ECLAT)

    POUR VOIR ET SELECTIONNER LES PHOTOS (A.Lajeus et M.Darriet) CLIQUER SUR LE LIEN  

    https://picasaweb.google.com/109595526866478894665/PORCALHES2012?authkey=Gv1sRgCN7a4qD3mZ3P2QE 

    les photos de Dédé Birles sont sur le lien

    https://picasaweb.google.com/109595526866478894665/ZPORCALHES2?authkey=Gv1sRgCNiDiPu3m4ySOg 

  • PARLAM GASCON!

    14 0CTOBRE 2011 028 [1600x1200].JPGSamedi 15 Otobre,  ECLAT, sous l'impulsion de Miquèu BARIS, son vice président en chagre de l'animation gasconne  a organisé une très sympathique après midi de Gascon à Capranie. Certes la salle n'était pas pleine ( 120 personnes environ, dont une trentaine d'invités), mais les voeux des organisateurs étaient comblés, et bien sûr aussi les amateurs de la langue d'Oc.Isabelle Toullet, prof de musique à Orthez a dirigé le choeur des "Amics purmèrs"  (Les Copains d'abord) avec une maestria d'autant plus méritoire qu'il lui manquait ses guitaristes...les Sabots d'Hélène, Pauvre Martin, l'Auvergnat,la Mauvaise Réputation, le Joueur de flutiau, la Cane de Jeanne, la Chasse aux papillons, le Vent, la Prière, Gastibelza, et une oeuvre qui aurait pu être de Brassens: La Ballade Irlandaise. Dommage que ce groupe, qui a fait déjà trois fois le Festival de Puyoo, risque d'arrêter faute de relève...En tous les cas les Amics Purmèrs ont montré que Brassens peut être chanté dans toutes les langues... Merci à Marie Josée Hustaix Etcheverry que les anciens d'Albert 1er de Bayonne ont retrouvée avec plaisir...C'est elle qui a écrit tous ces chants et écrit la pièce qui a suivi et enchanté le public, même ceux qui ne comprenaient pas tout: Miquèu avait fait un livret pour les aider à suivre...Mais même sans cela, le travail des Comélodians permettait de suivre sans trop de difficultés.La soirée ne s'est pas arrêtée avec le baisser de rideau: le buffet remarquablement préparé et servi par bon nombre de  choristes des Esclatats, buffet accompagné de chants dirigés par Roger et Dédé, avec un intermède phénoménal: le Haka gascon mené par l'ami BEDAT de Soustons... 

    14 0CTOBRE 2011 057 [1600x1200].JPG

    les photos de la soirée sont sur le lien suivant

    https://picasaweb.google.com/109595526866478894665/NEW?authkey=Gv1sRgCJOZ88m61JnSsAE

    Les photos de Gérar BENQUET  sont à voir grâce au lien suivant

    https://picasaweb.google.com/109595526866478894665/COMELODIANS?authkey=Gv1sRgCPeM07j6q7avNw # 

  • JOURNEE GASCONNE SAMEDI A ONDRES

    batsarra4.jpgL’Amicale ECLAT organise une après-midi gasconne le samedi 15 octobre prochain à Ondres, à 16 h .En première partie, les   les chanteurs "Los Amics Purmèrs", (Les COpains d'abord)      chanteront des chansons de Brassens  en gascon, et, en seconde partie, les "Comelodians"  de Sault-de-Navailles,   joueront la pièce "Ramdam sur l'Acropole" , inspirée du Lysistrata d’Aristophane,  de Marie-Jo Hustaix Etcheverry. 
    L’affaire se déroule dans un endroit inconnu. Mais c’est cette interminable guerre entre Sautnavaillais et Sallespikon qui va décider les femmes à prendre le pouvoir. Oui, mais comment faire alors qu’elles n’ont même pas le droit de vote ! Pour nos vaillantes, rien d’impossible, et elles trouveront des stratégies originales ! c’est alors le début d’une démocratie expérimentale… singulière !
    Les Comelodians de Saut-de-Navailles reviennent avec cette comédie inspirée de l’œuvre d’Aristophane, auteur grec, qui vécu il y a 25 siècles. Fidèles à leur culture, les Comélodians joueront cette pièce intégralement en gascon (un résumé bilingue sera a diposition à l’entrée).
    Entrée générale 8€. Possibilité de réserver à l'Office de Tourisme (05 59 45 19 19) Un livret sera distribué aux personnes qui ne comprennent pas le Gascon    
    N'HESITEZ PAS à  FAIRE PASSER LE MESSAGE AUTOUR DE VOUS

  • LES DANSES DOMINICALES ONT REPRIS

    25 SEPTEMBRE 2011 022 [1600x1200].JPGL’animation danse traditionnelle au marché a repris le dimanche 25 septembre.
    Avec un très beau temps (du soleil, mais pas trop chaud) une dizaine de danseurs de l’atelier et le groupe Gatemina avaient fait le déplacement pour animer cette initiation aux  danses  d’ici (gasconnes pour la plupart, mais pas seulement).
    Quelques curieux sont venus voir, peu ont participé.
    Nous rappelons à tous les Eclatés, en particulier à ceux qui résident à Ondres, qu’ils sont bienvenus à cette animation mensuelle, que les danses proposées sont à la portée de tous, faciles à apprendre en quelques minutes sur la place : si vous savez marcher, vous saurez danser !
    Alors nous vous attendons nombreux  le dimanche 30 octobre prochain, de 11h à 12h, sur la place du marché.
    Et pour ceux qui se décideraient à apprendre des danses un peu plus difficiles (rondeaux, congos, mazurkas, bourrées ...) l’atelier de danses traditionnelles d’ECLAT reprend le jeudi 6 octobre de 20h30 à 22h30 dans la salle de danse de Capranie. Les séances ont lieu tous les jeudis sauf pendant les vacances scolaires, la participation à l’atelier est gratuite pour les adhérents d’ECLAT.
     
    Les cours de gascon avec Miquèu BARIS reprennent, eux, le mercredi 5 Octobre à 18H salle annexe dous Maynadyes

  • LES ACTIVITES REPRENNENT A ECLAT

    Les ateliers d'ECLAT reprennent progressivement...

    Les Dançaïres de Danses Trad'  reprendront le jeudi 6 octobre,  à Capranie. L'atelier, animé par Maryvonne fonctionne tous les jeudis de 20h30 à 22h30, sauf vacances scolaires. Danses Trad' reçoit tous les danseurs, débutants ou confirmés,pour apprendre les danses traditionnelles de Gascogne et d'ailleurs. L'atelier anime le marché de Ondres le dernier dimanche de chaque mois, avec rondeaux, congos, scottishs, mazurkas, sauts basques et béarnais... Renseignements 0558774043

    30 AVRIL 2011 021 [1600x1200].JPG

    Les Dançaïres animent les sorées d'ECLAT (ici la Maïade)

    La chorale gasconne Leus Esclatats répète tous les lundis (20H à Capranie)

    20 MARS 2011 PAGALHOS 005 [1600x1200].JPG

    sous la direction de Joël Streichenberger. 30 choristes pour promouvoir la langue gasconne, mais il n'est pas utile de connaître la musique ou le Gascon pour venir s'éclater Renseignements au 05 59 45 24 71;

    Les Cantaïres reprennent le mardi 13 septembre 18H aux Maynadyes.

    29 JUIN 2011 040 [1600x1200].JPG

    Un groupe qui n'engendre pas la mélancolie, que ce soit en français, espagnol, basque ou gascon...Victime de son succès, le groupe risque d'être obligé de limiter désormais les inscriptions

       LES COURS DE GASCON REPRENNENT LE MERCREDI 5 OCTOBRE

    C'est l'intarrissable conteur Miquèu Baris qui donne son cours de gascon, chaque mercredi à partir de 18h45, aux Maynadyes.Pour tous renseignements 06 09 62 52 99

    capitou de nadau.jpg

     

    SOLDATS2 011.jpg       MIQUEU  LE CONTEUR   

     

    LA BANDA DES CHAOUCHE PADERE N'A PAS TERMINE

    La banda ayant joué tout l'été...fera une pause et décidera de la reprise lors de la réunion générale du mercredi 14 septembre prochain.39 sorties ( dont la moitié gratuites) entre 15 Octobre 2010 et 15 septembre 2011...qui ont mobilisé 42 musiciens pour une moyenne de 20 par sorties...Répétitions le vendredi soir aux Maynadyes, repas environ une fois par mois...Renseignements: 06 09 62 81 92

    23 AOUT 2011 043 [1600x1200].JPG

         Une des dernières sorties de l'été à Touristra, avec l'ultime sortie Chaouche de Peter...

     

    LES QUILLAÏRES DANS L'ATTENTE

    Le dernier né  des ateliers  d'ECLAT n'a pas encore repris. Le responsable-juge-arbitre René Labeyrie des quilles de 6 n'a pas encore fixé le jour de la reprise, ce qui ne saurait tarder.P1080669 [1600x1200].JPG

    LES QUILLES : UN SPORT-JEU QUI CONVIENT AUSSI BIEN AUX DAMES QU'AUX MESSIEURS

     

    ET N'OUBLIONS PAS

    LES CUISINIERS aux ordres de FRANçOISE LORMAND

    14 JUILLET2011 007 [1600x1200].JPG

    les CASETAS avec les  talos

    omelette ondres.jpg

    omelette de Pâques 

     

     COCHON1 008.jpg

    PORCAÏRES

  • PRESENTATION d'ECLAT

     

          EQUIPE POUR LA CULTURE LOCALE ET L'ANIMATION TOURISTIQUE 

    ECLAT a été créée en 1997 par trois anciens administrateurs  du Syndicat d'Initiative d'Ondres : Henry Dauga, Miquèu Baris et Michel Darriet, l'actuel président.L'activité de l'Amicale est toute entière résumée dans l'article 2 de ses statuts:  " ECLAT a pour but de retrouver les us et coutumes locaux et de les relancer dans le cadre d'animations thématiques. Ces animations seront réalisées plus précisement dans le but de faire connaître aux touristes la culture locale" 

    Ses premières activités ont été la Despourguère (récolte du maïs et égrenage à la main), les vendanges, Carnaval et jugement de San Pansard, dégustation de crèpes à la Chandeleur, de  l'omelette à Pâques,  de la Morue en Pimpe pour les Fêtes, du Beaujolais, du Corbières, du Vin des sables ou du Gaillac nouveaux selon l'humeur de l'année...... Fête du Cochon aux Porcalhes (préparation et dégustation des cochonnailles), maïade à l'ancienne (photo), soirées labelisées "Tourisme en Espace Rural" pour les estivants...... En 13 ans se sont succédé   la création d'une banda "Les Chaouche padère" (les Sauce-poêle), d'une chorale qui ne chante qu'en Gascon ( Leus Esclatats), d'un groupe de danseurs (danses traditionnelles), d'un cours de gascon, et, depuis cette année, d'un atelier de chants festifs basco-espagnol-gascon- français, d'un atelier de quilles de Six et autres jeux traditionnels gascons, dont le matériel a été entièrement réalisé par des membres de l'Amicale. 

    maïade 2010 016 [Résolution de l'écran].JPG

     Maïade 2010 en l'honneur d'Alphonse.

    DSCN1476.JPG

    Quilles de 6 à Saint Robert.

    Particularité de l'Amicale : La cotisation est payée en Assemblée générale (le jour de la Chandeleur), c'est à dire que les nouveaux venus de Septembre ont eu  le temps d'apprécier l'association avant d'y adhérer (depuis 2007, cotisation fixée à 10 € par famille et par an) ; l'Association compte environ 130 familles adhérentes. 

    10 JUILLET 2011 149 [1600x1200].JPG

                Une des dernières sorties de la banda : 10 Juillet 2011 à Pampelune  

    29 JUIN 2011 047.JPG

                                  les guitaristes des Cantaïres, dernier né des ateliers d'ECLAT

    20 MARS 2011 PAGALHOS 011 [1600x1200].JPG

                                           La chorale gasconne "Leus ESCLATATS"

  • ENTRE LAS AIGAS LO GASCON EN PARTATGE

    Culture : L’ORIGINA DEUS NOMS DE LAS COMUNAS  DEU SENHANS E DEU BAISH-ADOR.
    3.- TARNOS.

    Abans-díser : Qu’atz aquí lo tresau article que los aprenents deus cors de Gascon de l’Associacion E.C.L.A.T. an consacrat a l’origina deu parçan on damoram, lo Senhans. Tad aquò, que ns’èm servits deu libe que la Benedicta BOYRIE-FENIÉ a escrivut sus la toponimia de las Lanas, Dictionnaire toponymique des communes – Landes et Bas-Adour, pareishut en 2005 en çò de las edicions Cairn, qui tienèm a mercejar, en aténder de la poder har viéner tà’n parlar de votz viva.

    Tarnòs qu’es la 5au vila de las Lanas, dab mei de 12 000 estatjants. Que’s tròba a l'estrem sud-oèst deu departament, suu bocau d'Ador, a las pòrtas deu Bascoat, mes pas dehens, au contra de çò que d’aubuns aimarén har a créder au monde. Aquera vila qu’es a l'aviada deus 106 Km de plajas de sable fin qui caracterizan la còsta landesa.
    Lo nom de la vila qu’es estat ortografiat Tarnos desempuish lo Cartulari de Dacs, aus sègles 11au e 12au. Qu’apareish devath lo nom de Larnos sonque sus la carta de Gudocus, en 1630, e que s’a tornat trobar lo nom de Tarnos de hiu desempuish (Carta deu Ducat de Labrit de 1647, Carta d’Amsterdam de 1714, Carta de Guiana e Gasconha de 1733, e cartas deu sègle 18au). Tots los grans lingüistas (Dauzat, Rostaing, Nègre, Astor, e B. Boyrie-Fénié) que s’avienen tà soslinhar l’origina antroponimica d’aqueth nom, un nomat « Tarinus », benlhèu lo luenhec ajòu qui a fondat la « villa » qui l’estó balhada, de cap au sègle dusau, com gratificacion a un ancian gradat qui avè servit en l’armada romana abans que ne s’arretirèssi deu parçan.

    Miquèu BARIS, animator deus cors de Gascon d’ECLAT

    LEXIC :

    ajòu (ayoou) : aïeul
    antroponimica (antroupounimique) :
    anthroponymique
    aprenents (apreneuns) : élèves
    arretirar (arretira) : retirer
    aubuns (d’) (daoubuns) : certains
    aviada (abiade) : commencement
    aviéner (s’) (s’abieune) : s’accorder
    balhar (bailla) : donner
    Bascoat (Bascouat) : Pays Basque
    benlhèu (beulièou) : peut-être
    bocau (boucaou) : embouchure
    contra (au) (aou countre) :
    contrairement créder (creude) : croire
    damorar (damoura) : rester, habiter
    dehens (deheuns) : dans, dedans
    desempuish (deseumpuch) : depuis
    devath (debat) : sous
    ducat (ducat) : duché
    dusau (dusaou) : deuxième
    escríver (euscribe) : écrire
    estatjant (eustatdyan) : habitant
    estrem (eustreum) : extrémité
    gratificacion (gratificacioun) :
    gratification, récompense
    Guiana (Guyane) : Guyenne)
    har (ha) : faire hiu (de) (de hiou) : en suivant,
    sans interruption, au fil du temps
    luenhèc (lugnèc) : éloigné
    parçan (parsan) : région, contrée
    paréisher (pareuche) : paraître
    pòrta (porte) : porte
    plaja (playe) : plage
    sonque (sounque) : uniquement
    soslinhar (sousligna) : souligner
    tornar trobar (tourna trouba) :
    retrouver
    trobà’s (trouba’s) : se trouver

    FOTO.- La glèisa Sent-Vincens, au borg de Tarnòs.
    L’église Saint-Vincent, au bourg de Tarnos (© OTSI du Seignanx)



    Article en Gascon et sa traduction
    L’ORIGINA DEUS NOMS DE LAS COMUNAS
    DEU SENHANS E DEU BAISH-ADOR
    3.- TARNÒS. L’ORIGINE DES NOMS DES COMMUNES
    DU SEIGNANX ET DU BAS-ADOUR
    3.- TARNOS
    Tarnòs qu’es la 5au vila de las Lanas, dab mei de 12 000 estatjants. Que’s tròba a l'estrem sud-oèst deu departament, suu bocau d'Ador, a las pòrtas deu Bascoat, mes pas dehens, au contra de çò que d’aubuns aimarén har a créder au monde. Aquera vila qu’es a l'aviada deus 106 km de plajas de sable fin qui caracterizan la còsta landesa.

    Lo nom de la vila qu’es estat ortografiat Tarnos desempuish lo Cartulari de Dacs, aus sègles 11au e 12au. Qu’apareish devath lo nom de Larnos sonque sus la carta de Gudocus, en 1630, e que s’a tornat trobar lo nom de Tarnos de hiu desempuish (Carta deu Ducat de Labrit de 1647, Carta d’Amsterdam de 1714, Carta de Guiana e Gasconha de 1733, e cartas deu sègle 18au).
    Tots los grans lingüistas (Dauzat, Rostaing, Nègre, Astor, e B. Boyrie-Fénié) que s’avienen tà soslinhar l’origina antroponimica d’aqueth nom, un « Tarinus », benlhèu lo luenhec ajòu qui a fondat la « villa » qui l’estó balhada, de cap au sègle dusau, com gratificacion a un ancian gradat qui avè servit en l’armada romana abans que ne s’arretirèssi deu parçan.
    Tarnos est la cinquième commune des Landes, avec plus de 12 000 habitants. Elle se trouve à l’extrémité sud-ouest du département, sur l’embouchure de l’Adour, aux portes du Pays Basque, mais pas à l’intérieur, contrairement à ce que certains aimeraient faire croire aux gens. Cette ville se trouve au commencement des 106 km de plages de sable fin qui caractérisent la côte landaise.
    Le nom de la ville a été orthographié Tarnos depuis le Cartulaire de Dax, aux 11ème et 12ème siècles. Il apparaît sous le nom de Larnos uniquement sur la carte de Gudocus, en 1630, et il a repris son nom de Tarnos sans interruption depuis (carte du Duché d’Albret de 1647, carte d’Amsterdam de 1714, carte de Guyenne et de Gascogne de 1733, et cartes du 18ème siècle).
    Tous les grands linguistes (Dauzat, Rostaing, Nègre, Astor, et B. Boyrie-Fénié) s’accordent à souligner l’origine anthropologique de ce nom, un dénommé Tarinus, peut-être le lointain aïeul qui a fondé la « villa » qui lui fut donnée, vers le deuxième siècle, comme gratification, en tant qu’ancien gradé de l’armée romaine avant qu’elle ne se retire de la région.